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Entreprise hybride, comment maintenir notre gouvernance ?

Qualités d’adaptation, prévention des risques, résilience, tels sont les qualités d’un sportif pour se maintenir à un haut niveau. Des préceptes qui peuvent également s’appliquer à une gouvernance d’une entreprise passée en mode hybride.

Retour d’expérience du joueur de tennis Henri Leconte, qui, après une défaite en finale de Roland Garros en 1988 et après trois opérations du dos, gagne en 1991, la Coupe Davis avec l’équipe de France de Yannick Noah. Il fait ici un parallèle entre le sport et l’entreprise, deux univers dans lesquels il faut maintenir coûte que coûte des objectifs de performance.

Avec Christine Bertolus, Head of Collaboration Sales à Cisco France dont le périmètre d’action est l’adaptabilité, la flexibilité, les nouvelles collaborations au moment où le temps d’occupation des espaces de travail est passé de 60% à 30 %. Et ce, afin de maintenir le bien-être et l’engagement des collaborateurs, accompagner une conduite des changement, des usages culturels et managériaux mais également, augmenter la rétention et l’attractivité des talents.

Et Mauro Israël, Senior Technical Solutions Engineer chez SecurityScorecard* qui intervient sur les plans d’actions de l’entreprise au temps du travail hybride et des risques cyber. Il partage également son personnel “Big Quit”* lors du confinement alors qu’il était Ciso d’une grande entreprise de 75 000 employés.

* Henri Leconte, ancien joueur de tennis de 1980 à 1996, est aujourd’hui consultant média et fondateur de HL&Co (conférences sur le dépassement de soi).

Né le 4 juillet 1963 à Lillers (Pas-de-Calais), il compte dix-neuf titres ATP en simple et en double messieurs à son palmarès, dont le tournoi de double de Roland-Garros, remporté en 1984. Il a été au 5e rang au classement ATP en simple et 6e mondial en double.

Vainqueur de la Coupe Davis avec l’équipe de France en 1991, finaliste à Roland Garros, plusieurs fois 1/2 finaliste des tournois de Roland Garros et de Wimbledon, Henri Leconte était surnommé sur les courts « le Cimetière » à cause des nombreux joueurs qui ont connu des défaites cuisantes face à lui.

À partir de la défaite contre Wilander en finale de Roland Garros, Henri Leconte effectue une traversée du désert ponctuée de douleurs sciatiques et trois opérations du dos impliquant des arrêts, plus ou moins « définitifs », de sa carrière. Mais il fait un retour fracassant en gagnant la Coupe Davis avec Guy Forget face aux Etats-Unis, puis atteindre pour la troisième fois de sa carrière, la demi-finale des Internationaux de France de tennis.

À l’issue de la saison 1992, il reçoit le prix ATP du « Retour de l’année ».

Propos recueillis par Julien Merali, Général Manager du Pôle IT d’Agora Managers, lors des Sessions Digitales (voir tous les replays), en collaboration avec SecurityScorecard, leader mondial de l’évaluation de la cybersécurité et Cisco, leader mondial de la transformation numérique, de l’IT et des réseaux.

*Big Quit : “La Grande Démission” est un ample phénomène de démissions professionnelles qui a commencé aux États-Unis à partir de juillet 2020, à la suite de la pandémie de Covid-19, lorsque des millions d’Américains insatisfaits de leur travail ou de leur salaire ont quitté leur emploi. 

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